« Seigneur ! Quel froid de Coincoin ! » s’exclama-t-elle.
A peine fut-elle entrée que le blond de ses cheveux regagnaient de leur éclat naturel. Découvrant sa capuche carmin recouverte de neige, nombre de regards s’arrêtèrent sur elle. Le silence se fit aussitôt dans l’auberge. Le deux Sadidas qui jouaient au Krosmaster, tapis près de l’escalier en furent même déconcentrés, à leur rythme, bien-entendu. La jeune elfe en fut gênée, ce n’était pas la première fois, mais elle ne s’était toujours pas habituée. Elle jeta un rapide coup d’œil dans l’assemblée, puis se rapprocha du comptoir, pour demander de quoi se réchauffer. Le volume sonore remonta progressivement, l’effet de surprise s’escomptant.
Le tavernier lui servit son lailait bien chaud tandis qu’un homme vêtu d’un complet à capuche marron et jaune, étrangement sec d’ailleurs, tant la météo laissait à désirer aujourd’hui, s’approcha à son tour de l’aubergiste.
Le tavernier lui servit son lailait bien chaud tandis qu’un homme vêtu d’un complet à capuche marron et jaune, étrangement sec d’ailleurs, tant la météo laissait à désirer aujourd’hui, s’approcha à son tour de l’aubergiste.
« La même chose, s’il vous plaît. »
Le patron acquiesça et alla préparer la commande.
« Il ne vous aura pas fallu si longtemps pour venir me voir cette fois, lui dit-elle.
- J’avais à faire dans les parages, nombre de courriers m’ont été adressés à Madrestam pour venir ici m’occuper de Sapeurs, proliférant un peu trop dans le coin ; contre rémunération, évidemment. Qui aurait cru que des monstres aussi intimidants régnants sur cette île polaire puissent craindre la glace ?
- Tiens donc, moi qui pensais candidement vous avoir plu.. , démarra-t-elle, s’empressant de laisser planer un court silence.
- Le hasard vous a conduit à moi, semblait-t-il, peut-être n’est-ce donc pas si fortuit ?
- Ne soyez pas si enthousiaste, déclara-t-elle, découvrant ses canines, on a également requis mes services. Un Ecaflip m’a demandé de venir secourir sa compagne, qui a trop joué avec le feu dans les mines, présomptueusement ; il espère qu’elle y est encore, recluse de ces monstres, car cela fait plusieurs jours qu’elle devrait être rentrée chez eux, dans la Canopée.
- Je vois, et bien, désirez-vous que nous résolvions ces problèmes conjointement, proposa-t-il, cela uniquement dans un but d’efficience, vous en conviendrez ?
Elle sourit à nouveau, ses yeux semblaient briller, ou peut-être n’était-ce que la lueur des chandelles de l’auberge ? Ils continuèrent à discuter de cette manière pendant de longues minutes, et même quelques heures. Si bien que c’est l’aubergiste qui leur offrit d’autres boissons, ne souhaitant pas voir s’interrompre leurs échanges qui semblaient si naturels, ce qui devenait rare ces derniers temps sur l’île.
En effet, cette dernière était devenue une attraction pour les jeunes pousses encore inexpérimentées et décorées de leurs équipements honorifiques, accompagnés bien souvent d’une Dragoune et d’un mercenaire, toujours en quête d’une plus rapide prise d’expérience. La taverne leur servait alors de refuge suite à une cuisante défaite, au cours de laquelle ils n’étaient malheureusement pas en état de lutter avec un seul des monstres présents à l’extérieur. Leurs conversations tournaient vite court, ils réclamaient la monnaie qu’ils avaient avancée au mercenaire et ce dernier leur rétorquaient que c’était de leur faute s’ils avaient perdu, n’ayant pas choisi le bon endroit, car se retrouvant trop prêts des monstres lors du début du combat.
Le tavernier en était las, et c’est pour cette raison qu’il était ravi lorsque des clients semblaient simplement vivants dans son auberge. Malheureusement, il finit par se résoudre à les interrompre, leurs conversations les amenant tard dans la nuit, il était temps pour lui de fermer les portes de son établissement.
« Excusez-moi les enfants, je vais devoir vous demander de finir vos tasses, la journée de demain s’annonce assez conséquente pour tout le monde, j’en ai peur. Désirez-vous passer la nuit ici ? », proposa-t-il.
La jeune femme rosit légèrement, tandis que l’homme terminait son breuvage, comme demandé.
« Avec plaisir Tavernier, que vous reste-t-il ?
- Hélas plus grand-chose, nombre de chambres sont occupées par les jeunes énergumènes instables du continent, mais il me reste bien la 9, juste sous la charpente, il y fait toutefois généralement assez chaud, cela ne vous dérange pas ?
- Il ne vous reste ainsi qu’une chambre ? Demanda l’homme, semblant quelque peu gêné.
- Y voyez-vous un inconvénient, mon bon Phyrug ? Lui demanda la jeune elfe, arborant à nouveau son sourire nonchalant.
- Eh bien, je craignais surtout que vous en soyez embarrassée.. » , s’avança-t-il.
Elle farfouilla le contenu de son sac en pétales de roses démoniaques, puis en sortit quelques secondes plus tard une bourse qu’elle tendit à l’aubergiste, lui demandant si cela suffirait. Ce dernier entreprit même de leur expliquer que c’était plus que prévu avant qu’elle ne lui avoua que c’était pour service rendu.
Il les aida ensuite à monter leur équipement sous la charpente de la taverne, puis leur souhaita une agréable nuit au sein de son établissement, en leur rappelant qu’ils pourraient petit-déjeuner le lendemain. Le dénommé Phyrug lui avoua qu’ils seraient partis à l’aube, et le patron s’en alla, souhaitant leur préparer un petit en-cas à emporter à leur lever.
Se retrouvant seuls, l’elfe blonde se rapprocha alors, dénoua ses cheveux en même temps que son chemisier en flanelle, susurrant à l’homme qu’il ne fallait pas perdre de temps, car ils n’auraient que très peu de temps pour dormir cette nuit.
« Il ne vous aura pas fallu si longtemps pour venir me voir cette fois, lui dit-elle.
- J’avais à faire dans les parages, nombre de courriers m’ont été adressés à Madrestam pour venir ici m’occuper de Sapeurs, proliférant un peu trop dans le coin ; contre rémunération, évidemment. Qui aurait cru que des monstres aussi intimidants régnants sur cette île polaire puissent craindre la glace ?
- Tiens donc, moi qui pensais candidement vous avoir plu.. , démarra-t-elle, s’empressant de laisser planer un court silence.
- Le hasard vous a conduit à moi, semblait-t-il, peut-être n’est-ce donc pas si fortuit ?
- Ne soyez pas si enthousiaste, déclara-t-elle, découvrant ses canines, on a également requis mes services. Un Ecaflip m’a demandé de venir secourir sa compagne, qui a trop joué avec le feu dans les mines, présomptueusement ; il espère qu’elle y est encore, recluse de ces monstres, car cela fait plusieurs jours qu’elle devrait être rentrée chez eux, dans la Canopée.
- Je vois, et bien, désirez-vous que nous résolvions ces problèmes conjointement, proposa-t-il, cela uniquement dans un but d’efficience, vous en conviendrez ?
Elle sourit à nouveau, ses yeux semblaient briller, ou peut-être n’était-ce que la lueur des chandelles de l’auberge ? Ils continuèrent à discuter de cette manière pendant de longues minutes, et même quelques heures. Si bien que c’est l’aubergiste qui leur offrit d’autres boissons, ne souhaitant pas voir s’interrompre leurs échanges qui semblaient si naturels, ce qui devenait rare ces derniers temps sur l’île.
En effet, cette dernière était devenue une attraction pour les jeunes pousses encore inexpérimentées et décorées de leurs équipements honorifiques, accompagnés bien souvent d’une Dragoune et d’un mercenaire, toujours en quête d’une plus rapide prise d’expérience. La taverne leur servait alors de refuge suite à une cuisante défaite, au cours de laquelle ils n’étaient malheureusement pas en état de lutter avec un seul des monstres présents à l’extérieur. Leurs conversations tournaient vite court, ils réclamaient la monnaie qu’ils avaient avancée au mercenaire et ce dernier leur rétorquaient que c’était de leur faute s’ils avaient perdu, n’ayant pas choisi le bon endroit, car se retrouvant trop prêts des monstres lors du début du combat.
Le tavernier en était las, et c’est pour cette raison qu’il était ravi lorsque des clients semblaient simplement vivants dans son auberge. Malheureusement, il finit par se résoudre à les interrompre, leurs conversations les amenant tard dans la nuit, il était temps pour lui de fermer les portes de son établissement.
« Excusez-moi les enfants, je vais devoir vous demander de finir vos tasses, la journée de demain s’annonce assez conséquente pour tout le monde, j’en ai peur. Désirez-vous passer la nuit ici ? », proposa-t-il.
La jeune femme rosit légèrement, tandis que l’homme terminait son breuvage, comme demandé.
« Avec plaisir Tavernier, que vous reste-t-il ?
- Hélas plus grand-chose, nombre de chambres sont occupées par les jeunes énergumènes instables du continent, mais il me reste bien la 9, juste sous la charpente, il y fait toutefois généralement assez chaud, cela ne vous dérange pas ?
- Il ne vous reste ainsi qu’une chambre ? Demanda l’homme, semblant quelque peu gêné.
- Y voyez-vous un inconvénient, mon bon Phyrug ? Lui demanda la jeune elfe, arborant à nouveau son sourire nonchalant.
- Eh bien, je craignais surtout que vous en soyez embarrassée.. » , s’avança-t-il.
Elle farfouilla le contenu de son sac en pétales de roses démoniaques, puis en sortit quelques secondes plus tard une bourse qu’elle tendit à l’aubergiste, lui demandant si cela suffirait. Ce dernier entreprit même de leur expliquer que c’était plus que prévu avant qu’elle ne lui avoua que c’était pour service rendu.
Il les aida ensuite à monter leur équipement sous la charpente de la taverne, puis leur souhaita une agréable nuit au sein de son établissement, en leur rappelant qu’ils pourraient petit-déjeuner le lendemain. Le dénommé Phyrug lui avoua qu’ils seraient partis à l’aube, et le patron s’en alla, souhaitant leur préparer un petit en-cas à emporter à leur lever.
Se retrouvant seuls, l’elfe blonde se rapprocha alors, dénoua ses cheveux en même temps que son chemisier en flanelle, susurrant à l’homme qu’il ne fallait pas perdre de temps, car ils n’auraient que très peu de temps pour dormir cette nuit.
Bon, bon, bon, trêve de séduction, je me présente !
Eh bien je m'appelle Baptiste, j'ai 20 ans, je suis étudiant et m'entraîne beaucoup quand je n'ai pas d'heure de cours, si bien que je ne me connecte pas régulièrement en jeu. Toutefois, j'ai repris Dofus il y a un bon mois, après beaucoup de breaks, plus ou moins longs, prenant en compte le fait que j'ai démarré peu de temps après la sortie des Pandawa.. vous avez un aperçu de mon expérience sur le jeu ahah
J'ai eu quelques très hauts niveaux sur d'autres serveurs (Goultard et Domen), puis on avait eu envie avec un ami de reprendre à zéro il y a 2 ans de cela et on s'est retrouvé sur Agride. Il a arrêté définitivement, et j'ai donc repris il y a peu.
J'ai eu l'habitude de côtoyer des guildes à forums, je ne vous cache pas que je préfère ça, et que c'est même rassurant.
J'ai eu vent de votre guilde en parcourant le forum officiel, sa présentation et son fonctionnement m'ont réellement donné envie. Je cherche actuellement une guilde pour avoir une bonne atmosphère lorsque je me connecte. Il est très rare que je sois inactif en jeu, mais ça ne veut pas dire que je ne suis pas passif ahah, il n'est pas inhabituel que je passe du temps devant un zaap avec l'étendard de guilde en discutant avec des amis.
Je ne suis pas du tout dans une quête d'xp, de drop, de sorties et que sait-je, je souhaite simplement avoir des compagnons amicaux lors de mes temps de connexion. Après, si demande il y a, je suis en règle générale toujours disponible pour aider.
Au niveau de mon personnage, Phyrug comme vous l'aurez compris, c'est un Huppermage Eau/Air. Il n'est pas haut niveau du tout puisqu'il est, à l'heure de cette candidature, niveau 76. Je le disais précédemment, je ne suis pas en quête d'xp. En ce moment, je fais essentiellement du koli à 90% muldo et un peu d'élevage, le but étant d'amasser suffisamment de kamas pour m'équiper comme je le souhaite avant d'atteindre tel ou tel niveau.
Phyrug a quelques métiers (de "secours", car pas du tout en farm), il est sculptemage 60, paysan 55 et chasseur 35. C'était vraiment pour la forme parce que je ne les utilise plus
J'ai un second personnage, Cyanug, Eniripsa Feu niveau 68, que j'utilise également pour le kolizéum, toujours dans cette même optique.
Le deux sont correctement équipés, tout proches des 2000 PV avec des puissances de frappe, de soin, PA, PO et PM tout à fait convenables.
Il me semble avoir fait le tour de la question, si vous avez une quelconque question, n'hésitez pas
Ci-joint une petite photo souvenir d'un petit week-end en amoureux sur la plage de Moon